Êtes-vous sure de vouloir offrir des animaux morts à Noël ?
Très peu de gens le savent, mais les cosmétiques contiennent des dérivés d’animaux. Les médias en parlent très peu, mais voici un article qui en parle.
En résumé l’article dit :
De la gélatine de porc dans les dentifrices, du sang séché dans les engrais, de la graisse animale dans l’essence et dans les peintures… Ils sont issus soit des cadavres d’animaux collectés dans les élevages, qui ne serviront que pour faire des engrais ou combustibles, soit des déchets des abattoirs et ateliers de découpe ainsi que des boucheries – en moindres quantités – qui sont, quant à eux, plus largement employés… Ce sont aussi ces produits qui se retrouvent dans l’alimentation humaine (gélatine par exemple), ou en lipochimie (savon), cosmétique…Une question se pose inévitablement : comment savoir si nous sommes concernés dans notre consommation courante ? « Si les femmes savaient que les crèmes qu’elles s’étalent sur la figure étaient faites avec des animaux morts, je doute qu’elles continueraient à trouver ça très sexy. Il faudrait une meilleure information, que ce soit au moins écrit clairement sur l’emballage et que l’on puisse le voir sans être obligé de chausser ses lunettes ! », poursuit Brigitte Gothière…Dans le savon, pour identifier la graisse animale, il faut regarder la composition et chercher le composant INCI qui identifie le tallowate de sodium. Il est présent dans de nombreux savons, aussi bien dans les supermarchés que les marchés ou le savon de Marseille. La graisse la plus courante pour les savons est celle de bœuf ou de porc…
Voir l’article dans le journal le Monde cliquez ici
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